Arborer un tour de poitrine plus volumineux est le rêve de nombreuses femmes. Le problème, c’est que beaucoup de solutions pour y arriver sont artificielles (soutien-gorge push up très rembourré, prothèses mammaires en silicone dans le décolleté…). L’intervention chirurgicale des seins n’est quant à elle pas si bénigne qu’on peut le croire. Néanmoins, des solutions naturelles existent pour avoir une plus grosse poitrine. Bien sûr, il ne s’agit pas ici de passer d’un bonnet A à un bonnet F. Une petite poitrine ne grossira pas par magie sans implants mammaires et chirurgie esthétique. Néanmoins, les petits seins peuvent tester des méthodes naturelles d’avoir de plus gros seins sans passer sur le billard. C’est au travers de 6 plantes réputées en partie pour cela que nous allons partager avec vous quelques remèdes pour une poitrine plus volumineuse. Cela fera gonfler en douceur la taille de la poitrine et va galber votre buste.
1) Le fenugrec pour une poitrine plus volumineuse
On trouve les graines de cette plante dans les rayons épices et on dit que c’est un excellent moyen de stimuler l’appétit, la digestion et la prise de poids. Mais si on s’y intéresse ici, c’est parce que sa teneur en phytoœstrogènes permet de stimuler la lactation et donc d’augmenter la taille des seins.
Sur vos seins, nous vous conseillons d’opter pour des massages de la poitrine avec de l’huile de fenugrec. Pour grossir les seins, il faudra masser par par mouvements circulaires. Si vous ne trouvez cette huile pas dans le commerce ou sur le net, vous pouvez broyer des graines et les laisser tremper une nuit dans de l’huile végétale. Faites une cure de 10 jours maximum puis une pause de 3 mois avant de recommencer.
Si vous êtes enceinte ou allergique aux arachides, passez votre chemin.
2) La bardane
Elle augmente le flux sanguin au niveau de la poitrine, augmentant ainsi leur volume. Grâce à ses œstrogènes, elle est bénéfique pour les tissus mammaires. Une infusion est possible avec 3 à 6 g de ses racines ou de ses feuilles dans un demi-litre d’eau chaude. Buvez une tasse à raison de 3 fois par jour. En plus, c’est une excellente infusion détox, antibactérienne et anticancéreuse. À éviter néanmoins en cas de calculs biliaires ou si vous êtes enceinte ou allaitez.
3) Le fenouil
C’est un allié digestion qui protège le foie en plus, mais pas que ! Il modifie les niveaux d’oestrogènes dans le corps grâce à ses composants (anéthole, dianethole et photoanethole et phytoœstrogènes). C’est ce qui permet de réguler le cycle menstruel, de stimuler la lactation et d’augmenter le volume des seins. Faites infuser 3 g de graines de fenouil (dose maximale pour une journée) dans 250 ml d’eau bouillante. 20 à 30 minutes avant votre repas, buvez 1 tasse la première semaine, 2 la deuxième et 3 la troisième.
Contre-indications : antécédents de convulsion, d’épilepsie ou de tumeurs, pilule, allaitement ou grossesse et prise de certains médicaments (voyez avec votre médecin).
4) La pueraria mirifica (ou Kwao Krua)
À la base, cette plante thaïlandaise est utilisée pour la mémoire ou contre la sénilité. En 1950, un botaniste britannique, Herbert Kenneth Airy Shaw, parle même d’une « fontaine de Jouvence ». Mais une autre de ses qualités est sa richesse en phytoœstrogènes. Ainsi cette plante favorise la circulation sanguine, l’accumulation des graisses dans les seins et l’hydratation de cette zone. D’après une étude, il faut la consommer quotidiennement pour voir des effets sur les seins entre 3 et 6 mois.
5) L’anis
Il contient une haute dose de phytoestrogènes, optez donc pour les graines d’anis vert consommé régulièrement pour obtenir des seins plus volumineux.
6) La racine de réglisse
Elle contient deux hormones clefs dans la prise de volume des seins : la prolactine et l’œstrogène. Il faut en broyer une petite quantité (l’équivalent d’une cuillère à café). Avant les 3 repas principaux, il faut mettre la racine broyée sous la langue pendant 15 min avant de l’avaler à l’aide d’un grand verre d’eau. Attention en cas d’hypertension ! Comme pour les autres plantes, mieux vaut se renseigner sur les contre-indications avant l’utilisation d’une plante.
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